Vous pensez mariage … vous avez rencontré cette fille, elle vous plaît, vous lui plaisez, vous vous êtes tournés autour, vous avez bu un ou deux verres ensemble, vous vous êtes revus, vous finissez dans sa chambre … une fois la chose consommée, il convient de vous poser la question de la suite de la relation : cette nana est-elle un coup d’un soir ou d’une semaine, ou mérite-t-elle que vous vous y intéressiez un peu plus et la considériez comme candidate pour une relation de long terme, voire pour devenir la mère de vos enfants ? Petite liste de traits auxquels il convient de prêter attention…
Avez-vous baisé dès le premier soir ?
Les coups de foudre, ça arrive. Plus souvent qu’on ne le pense. Mais s’il s’est passé moins de 24 heures entre votre première rencontre et le moment où vous avez enlevé sa culotte, cette fille est un coup d’un soir. Une femme qui se respecte ne baise pas avec le premier venu. Celle qui le fait entre dans l’une des catégories suivantes :
- Les filles si peu sûres d’elles-mêmes qu’elles pensent devoir baiser pour conserver l’attention d’un homme qui les attire.
- Les filles si peu maîtresses d’elles-mêmes qu’elles cèdent à la tentation comme on cède à la gourmandise en passant devant une pâtisserie.
- Les filles si peu respectueuses d’elles-mêmes qu’elles mettent leur plaisir au-dessus de leur dignité et n’estiment pas que vous ayez à faire vos preuves, ni à mériter d’entrer dans leur lit.
Bien entendu, ce signe d’alerte devient plus flagrant encore selon ce que vous avez au juste pratiqué. Au-delà de cela, quelles que soient vos pratiques, positions et le détail de vos réjouissances, si elle a ne serait-ce que vaguement émis l’idée de baiser sans capote le premier soir, vous pouvez directement la cataloguer dans la section « salope irresponsable pour coup d’un soir exclusivement » (et refuser sa proposition, cela va de soi).
Est-elle physiquement endommagée ?
Tout être humain est d’abord un corps. Respecter son propre corps, l’entretenir au moins convenablement, c’est se respecter soi-même et s’assurer de n’être pas un poids (au sens propre comme au sens figuré) pour les autres. Une femme qui respecte son corps est une femme saine, qui mérite votre attention. En revanche, si elle s’automutile, c’est signe de tempérament autodestructeur, de fragilité, voire de folie. Cela ne veut pas toujours dire qu’elle doit être rejetée d’entrée de jeu mais il faut que, dans un coin de votre tête, une petite alarme se déclenche : « Attention, danger : rester prudent ».
Parmi les signes de mutilation, on peut noter :
- Le surpoids : c’est l’automutilation la plus courante. De plus, il indique une préférence pour la gratification immédiate (le plaisir de manger ou de picoler, la paresse de faire du sport), au détriment des intérêts à long terme (santé, beauté).
- L’anorexie : cas inverse du précédent, mais plus grave. Une anorexique est une suicidaire qui n’a pas le courage d’aller jusqu’au bout. Un traitement psychiatrique s’impose, en priorité.
- Les tatouages : une fille tatouée est une fille endommagée, et sans doute avec pas mal de soucis psychologiques. Voir notre article à ce sujet.
- La coiffure : une coiffure qui enlaidit, qu’elle soit à la Skrylex ou à la Lena Dunham, c’est un peu comme les tatouages, mais en moins pire, puisque ça reste temporaire. Mais cela reste un message d’alerte.
- Toute trace de mutilation volontaire (marque de rasoir aux poignets, etc.) : les prétendues tentatives de suicide des gamins émo-goths ne sont en général que des appels à l’attention mais il n’en demeure pas moins que les mutilations restent réelles.
- Toute trace d’un usage important de seringues : camée ou ex-camée, même combat. Elle peut être sympa, vous inspirer de la pitié, vous pouvez avoir de l’affection pour elle … mais si vous avez un minimum de respect pour vous-même et pour votre future descendance, elle ne doit jamais devenir la mère de vos enfants.
- Tout usage régulier et excessif de tabac ou d’alcool.

Que pense-t-elle du mariage ?
Considère-t-elle que le mariage est une vieille institution surannée, inutile, voire une marque de domination patriarcale odieuse et insupportable ? Ou au contraire qu’il s’agit d’un moment normal dans un parcours de vie ? Au passage : considère-t-elle d’un mauvais œil un changement de nom ? Ce point précis n’est pas critique mais il est souvent symptomatique et marque fréquemment les jeunes femmes touchées par la propagande régressiste ou féminhystérique.
Est-elle plus jeune que vous ?
Idéalement, votre épouse devrait être plus jeune que vous. Pas besoin que ce soit de vingt ans (encore que ça ne gâte rien). Une année suffit, ne serait-ce que pour le principe. Amusez-vous autant que vous le voulez avec des femmes plus âgées, mais pour ce qui est d’une relation de longue durée, une avance en âge vous assure de garder la main et de rester le plus expérimenté des deux. Et cela vaut mieux, autant pour vous que pour elle
Combien a-t-elle eu de partenaires sexuels par le passé ?
Oui, ça compte. Idéalement, elle devrait en avoir eu trois ou moins. Jusqu’à dix, ça reste acceptable. Au-delà, laissez tomber, surtout si elle est jeune. Encore une fois : nous ne parlons pas ici d’une petite copine, mais bien de la mère de vos enfants. Si vous souhaitez que votre relation tienne sur le long terme, il est impératif qu’elle n’ait pas eu trop de partenaires sexuels. La raison en est simple : la stabilité d’un mariage est directement corrélée au nombre de partenaires passés de la femme. Que l’homme ait connu une, dix ou cent femmes avant son mariage ne change rien. En revanche, une femme qui a connu de nombreux hommes est bien plus susceptible de divorcer.
Croit-elle en quelque chose ?
Pas forcément en Dieu, et pas forcément dans le vôtre, de Dieu. Mais quelque chose. Des principes, des valeurs précises, un code moral, la nation, la lutte des classes … on ne parle pas ici d’une vague sympathie mais d’une croyance profonde, enracinée. Car ces croyances sont structurantes et donnent à l’individu des bases solides pour son existence. Bien entendu, si ses croyances sont les mêmes que les vôtres, c’est mieux, beaucoup mieux : cela contribuera à renforcer votre mariage. Mais même si ça n’est pas le cas, un ensemble de principes et de lois morales personnelles ne peut pas faire de mal.
Est-elle féminine ?
Est-elle sensible, féminine, douce, avec à la fois assez de caractère pour ne pas vous ennuyer et assez de soumission pour ne pas vous dégoûter ? Porte-t-elle des vêtements féminins ou se fringue-t-elle comme un garçon manqué ? Croit-elle aux fariboles gender ? En bref : est-elle prête à comprendre que dans un mariage, chacun a son rôle et doit l’assumer ?
Est-elle jolie ?
La beauté d’une femme ne dure guère mais elle compte. Elle compte même beaucoup. Cependant, une trop grande beauté peut aussi se révéler un handicap. Je dirais que le score idéal pour une future épouse se situe à 7 : jolie, mais pas au point de lui attirer (trop) d’ennuis ni de lui donner trop de pouvoir. Cette question peut également en inclure une autre : prend-elle soin d’elle-même ? Une personne incapable de prendre soin d’elle-même ne prendra sans doute pas réellement soin de ses enfants non plus.
Quel est son métier ?
Si elle est en âge de travailler, a-t-elle un vrai métier ? Par vrai métier, il faut comprendre : une chose pour laquelle les gens vous paient et qui vous permet de gagner votre vie. Elle peut être avocate, infirmière, chargée de communication, psychothérapeute ou dame pipi … cela importe peu, au final. Evitez simplement celles qui se prétendent comédiennes, modèles, artistes de rue, chanteuses en formation et autres carrières qui n’en sont pas, et feront d’elle un éternel boulet, sur le plan financier et professionnel. La plupart de celles qui travaillent/militent dans un milieu associatif non établi, alternant emplois aidés et CDD à temps partiel, également. Le seul « boulet » de ce genre que vous puissiez admettre n’en est pas un : c’est si elle souhaite être mère au foyer. Ceci est un choix véritable, parfaitement envisageable pour peu qu’il corresponde également à vos aspirations, à votre vision du mariage et à vos moyens.

Quels sont ses hobbies ?
De vrais hobbies de femme (yoga, couture, musique, danse, fitness, équitation, loisirs créatifs divers…) ou des hobbies de toute évidence masculins (kick boxing, rugby…) ? Idéalement, ses passe-temps devraient être des choses qui, d’une manière ou d’une autre, contribuent à l’améliorer en tant que personne, que ce soit dans son apparence (danse, sport, yoga…), dans ses compétences (poterie, cuisine…) ou dans sa culture générale (musées, lecture…).
Boire des alcools forts et se remuer en boîte de nuit n’est pas réellement un hobby qui améliore la personne. Sniffer des trucs louches et sucer des inconnus non plus. Gueuler seins nus dans des manifs, façon Femen hystérique, pas davantage.
Veut-elle des enfants ?
Cela reste une question majeure. Elle n’a pas à en vouloir illico, bien entendu. Mais au minimum, elle doit être ouverte sur le sujet.
La question de la nature de la relation est d’importance. Avoir les idées claires à ce sujet vous assure de savoir où vous mettez les pieds. Mieux vous saurez dans quoi vous vous engagez dès le départ, mieux vous gérerez la relation. Il est impératif pour un homme de connaître les limites d’une relation, mais également de poser les siennes propres. Vous engager avec une femme qui n’en vaut pas la peine peut vous amener à des années d’emmerdements, de malheurs et de souffrances, pour vous deux. Si vous voulez réussir votre relation de couple, sachez choisir la bonne partenaire.
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