
L’idée selon laquelle ce seraient les hommes qui ne penseraient qu’à ça est non seulement fausse, mais à l’opposé exact de la réalité. S’il y a un sexe qui garde en permanence à l’esprit les réalités de la séduction et du Marché Sexuel, c’est bien le sexe féminin. Et le Grand Jeu n’est rien d’autre que l’ensemble des relations de séduction entre hommes et femmes. C’est à dire, à peu de choses près, l’ensemble des relations entre hommes et femmes tout court. Le Grand Jeu existe depuis la nuit des temps, et depuis la nuit des temps, ses principes sont globalement les mêmes (malgré l’existence d’un certain degré de variations individuelles dans les demandes et les attentes de chacun) : les hommes tentent d’obtenir un accès au sexe des femmes, tandis que les femmes tentent d’obtenir un accès aux ressources des hommes (ces ressources incluant leurs revenus financiers, mais aussi leurs capacités d’engagement physique et émotionnel, ainsi qu’un certain degré de protection). Le Grand Jeu relève donc d’un mélange entre le poker menteur et la prostitution : chacun sait qu’il doit donner quelque chose en échange de ce qu’il veut, mais on joue à jeu caché, le bluff joue un grand rôle et chacun espère obtenir ce qu’il désire sans avoir à donner à l’autre l’intégralité de ce qu’il veut. En clair : les hommes veulent du sexe et essaient de l’obtenir sans forcément avoir à payer, les femmes veulent de la protection et des ressources, et essaient de les obtenir sans forcément avoir à coucher.
Il n’y a aucune raison d’être choqué de cet état de fait. Il n’y a, face au réel, qu’une seule chose raisonnable à faire : l’accepter tel qu’il est. Parce que le réel est têtu et qu’il ne changera pas, mieux vaut nous en accommoder. La participation au Grand Jeu de la séduction n’est pas une option. On ne peut pas décider de s’en retirer, sauf à partir vivre seul et isolé de tous et de toutes. Car dès qu’une relation homme-femme existe, il y a en son sein un brin de séduction. Même si ce brin est réellement minime, il n’est jamais totalement absent. Il y en aura, en tout cas, toujours au moins un des deux qui y pensera.
Reste que si tout le monde participe, peu ou prou, au Grand Jeu, tout le monde n’en connait pas réellement les règles. Nombreux sont ceux qui croient encore aux contes de fées, et à un romantisme de collection Harlequin, à peine saupoudré d’un brin de fantasmes issus de leur consommation de porno. Ceux-là sont et seront toujours des victimes. Connaître les règles du Grand Jeu, c’est être capable de s’y mouvoir ; être capable de le regarder froidement et d’y participer sans le subir. Connaître les règles du Grand Jeu, c’est, surtout, être le borgne au royaume des aveugles ; cela ne garantit par forcément le succès, mais cela garantit, au moins, de comprendre ce que l’on fait, comment on le fait, vis-à-vis de qui, etc. Cela permet, surtout, de cesser d’être une victime. Car l’homme qui apprend à naviguer dans le Grand Jeu de la séduction en vient immanquablement à apprendre à identifier les comportements féminins les plus parasitaires et les plus prédateurs, et à sen méfier.
La société contemporaine en est à un tel point de gynocentrisme qu’il semble naturel à tout le monde qu’une femme se maquille (ce qui l’amène donc à tricher quant à sa valeur réelle sur le Marché Sexuel), tandis que l’on juge immoral le fait qu’un homme mente pour coucher.
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Il y a encore quelques générations, le Jeu était réservé à quelques rares personnes : les hommes à femmes, les Don Juan, les Casanova. Cela n’est plus le cas aujourd’hui : le Jeu est devenu indispensable à tous, pour la moindre de leurs relations sociales. Il ne s’agit plus d’un amusement. Il s’agit d’une question de survie, sur le plan social.
Règle #1 : vous êtes le centre de votre Jeu
Cette règle est difficile à suivre mais elle est primordiale. Elle est difficile parce qu’au fond d’eux, tous les hommes ou presque ont intégré le principe de male disposability et sont prêts à sacrifier leur temps, leur énergie et leurs ressources afin de faire obtenir à une femme un supplément de joie, de plaisir ou de confort, et ce même si ledit supplément est ridiculement mince au regard des sacrifices consentis pour l’obtenir. Nous avons tous été programmés, peu ou prou, pour considérer que notre sécurité, notre confort et nos possessions sont moins importants que l’opinion, le sentiment ou le caprice d’une femme.
Nous avons tous tendance à croire que, même si une chose nous semble logique, rationnelle, établie, cette vérité compte moins qu’une opinion féminine en la matière. Car les hommes sont les premiers complices du gynocentrisme. Ces attitudes, que l’on pourrait qualifier de chevaleresques, étaient utiles et relevaient de l’intérêt de l’espèce durant la majorité de notre longue histoire; c’est pourquoi ils sont encore ancrés en nous. Mais l’époque contemporaine nous force à réviser ces principes, si on ne veut pas en devenir les victimes aveugles. La notion de male disposability n’a de sens et n’est vertueuse que dans un contexte de survie difficile, dans lequel les femmes sont les garantes de la survie du groupe à la prochaine génération. Au contraire, dans le contexte d’une société hédoniste, dans laquelle le sexe n’est qu’un plaisir parmi d’autres (même s’il occupe le haut de la pyramide) et où une part importante des femmes n’auront pas (pour certaines, volontairement) de descendance, ce principe devient délétère.
Il convient donc, avant toute autre chose, de vous convaincre que vous êtes au centre de votre existence. Vous en êtes le point focal. Vous en êtes l’être le plus intéressant et le plus fondamental. Il n’y a qu’une seule catégorie de personne pour laquelle vous puissiez envisager de vous sacrifier : vos enfants. Et, dans certaines conditions précises, leur mère, si la bonne santé et le confort de celle-ci conditionnent ceux de votre descendance. Et encore. Il ne s’agit là que de cas extrêmes. La plupart du temps, non seulement votre sacrifice est inutile, mais en plus il peut être nuisible à la famille.
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Il convient également de jeter sur toute relation que vous entretenez avec une femme un regard rationnel et logique et que vous vous posiez quelques questions pertinentes :
- Ce que je fais dans cette relation est-il dans mon intérêt objectif ?
- Est-ce dans l’intérêt objectif de ma partenaire ?
- Sachant que le prix d’un rapport sexuel avec une tapineuse de rue tourner généralement autour de 50 ou de 60 euros, pour l’instant, si je fais un ratio sexe/coûts, suis-je gagnant à fréquenter cette femme ?
- Si je n’y suis pas gagnant, refaire le même calcul avec une escort : 300 à 1000 euros la nuit (généralement 2 à 4 rapports sexuels dans la nuit). Sachant qu’une escort de cette catégorie est généralement belle, docile, élégante, sympathique avec son client, qu’elle fait tout pour lui plaire et le garder. Ma compagne actuelle est-elle plus ou moins coûteuse qu’une escort ? En termes de rapport qualité-prix, qu’en est-il ?
- Si, au final, je ne m’estime pas gagnant dans cette relation, pourquoi la laisser perdurer ? Qu’est-ce qui me retient ? Est-ce la peur d’être seul ? Est-ce la crainte de faire du mal à ma compagne actuelle ? Est-ce la simple inertie ?
- Sachant que le seul intérêt, en tant qu’homme, que je puisse avoir à entretenir une relation durable et de long terme avec une femme, est dans le cadre de la fondation d’une famille : ai-je l’intention de fonder une famille avec cette femme ? Si non, pourquoi suis-je encore avec elle (voir point précédent) ?
- Outre les coûts financiers, quelles sont les contraintes que cette relation m’impose (en termes de mobilité, de fidélité, de temps…) ?
- Au total, quels sont les coûts pour ma compagne ? Tant en termes de ressources que de contraintes à mon égard ?
- Au final, une fois établis les « comptes » de la relation, reste une question fondamentale : cette relation est-elle équilibrée ?
Bref : il s’agit, à bien des égards, de réfléchir à votre relation exactement comme le fait une femme. Bien souvent, vous constaterez que la balance n’est pas équilibrée et que vous êtes, de loin, celui qui apporte le plus au couple. Ceci n’est pas forcément un problème. Car il reste une question : maintenant qu’est établi le « prix » que je paie pour avoir accès à cette personne, cela en vaut-il la peine ? Il n’est pas impossible que oui, ça en vaille en effet la peine. C’est peu probable, et cela exigerait une compagne d’une exceptionnelle qualité mais c’est possible. Si ça n’est pas le cas, en revanche, il vous appartiendra de déterminer si vous souhaitez poursuivre la relation, et, si oui, dans quel Cadre et sous quelles conditions. Soyez prévenu, cependant : il est généralement plus facile de mettre fin à une relation et d’en démarrer une nouvelle, avec une autre partenaire, que de réformer celle dans laquelle on se trouve déjà.
Cette règle de l’autocentrisme dans la relation, la plus importante et la plus fondamentale, ne doit pas vous encourager à l’égoïsme au sens strict : seulement à penser à vous-même et à vous placer sur un pied d’égalité avec votre partenaire. Car soyez assuré que, de son côté, elle ne dispose d’aucun instinct sacrificiel, et ne reste avec vous que tant qu’elle y trouve un intérêt.
Règle #2 : le premier qui tombe amoureux a perdu
Ou, du moins, le premier des deux qui l’avoue. Celui qui dit Je t’aime le premier (ou même qui le dit tout court) se met dans une situation d’esclavage émotionnel à l’égard de l’autre. Il permet à l’autre de le blesser quasiment à volonté. Tomber amoureux vous place dans une position désavantageuse à tous égards vis-à-vis de votre partenaire. Souvenez-vous toujours qu’elle ne vous aimera jamais comme vous l’aimez. Tout simplement parce que c’est impossible : hommes et femmes n’aiment pas de la même manière. L’amour-passion, de toute manière, peut à juste titre être considéré comme une forme de maladie mentale. Et cette maladie mentale, quoique passagère, n’est pas le bon critère sur lequel vous baser si vous ce que vous souhaitez, c’est établir une relation longue et durable : la confiance, une certaine forme de compréhension mutuelle et le fait de partager des valeurs idéologiques et morales sont de bien meilleures garanties de durabilité pour un couple qu’une passion peu durable.
Règle #3 : à la guerre comme en amour…
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Soyez prêt à être machiavélique. Beaucoup de femmes le sont. Beaucoup d’entre elles, également, sont calculatrices : si elles n’ont rien à gagner de leur association avec un homme, en vertu de la loi de Briffault, cette association n’aura pas lieu. Toutes ne l’admettront pas, et la plupart vous haïront si vous insinuez une telle chose, mais toute relation est prostitutionnelle par essence. Tout rapport sexuel est une transaction. Souvenez-vous que si elle couche avec vous, c’est qu’elle veut quelque chose en échange, que ce quelque chose soit un soutien matériel, de l’amour, du plaisir, le sentiment d’être rassurée, la joie de se sentir désirée, une protection ou autre. A vous de mener les négociations à votre convenance : promettre, laisser entendre, laisser supposer. Ne pas mentir directement mais laisser à imaginer. Son imagination est, potentiellement, votre meilleure alliée.
Souvenez-vous également qu’elle ne pense pas comme vous : chez elle, les faits comptent moins que l’impression qu’elle en a. Les émotions priment sur la logique. Cela ne veut pas dire qu’elle est stupide, bien au contraire : elle est tout aussi intelligente que vous mais elle utilise ses capacités intellectuelles d’une autre façon. L’homme qui, dans ses interactions avec les femmes, part du principe qu’elles sont des êtres rationnels et logiques se tire une balle dans le pied.
Une émotion sur laquelle vous pouvez facilement jouer est la crainte de vous perdre. Si vous parvenez à instiller dans son esprit l’idée que votre relation n’est pas inconditionnelle et que, bien qu’attaché à elle (au degré que vous jugez souhaitable de lui faire entendre), vous seriez capable de partir si les choses ne tournaient pas de la manière dont vous l’entendez, vous vous assurez une certaine maîtrise sur le Cadre de la relation, la mettez elle aussi à l’épreuve (voir Règle #5) et ainsi, paradoxalement, vous assurez d’un certain degré de loyauté (limité, cela va sans dire).
Règle #4 : connaître l’adversaire … et se taire

Sun Tzu dit : Attaquez à découvert mais soyez vainqueur en secret.
Votre connaissance des principes de comportement féminins n’a pas besoin d’être révélée. Si vous comprenez son hypergamie, son sens de la manipulation et de la séduction, sa manière de comprendre et de considérer les choses ou encore l’influence de la Loi de Briffault sur son comportement, c’est très bien, et c’est tant mieux pour vous. Mais lui montrer que vous comprenez n’a aucun intérêt et peut même s’avérer contre-productif. A ses yeux, mieux vaut que votre compréhension ressemble à quelque chose de magique, d’intuitif, d’irrationnel; mieux vaut qu’elle ignore toujours ce que vous savez réellement d’elle. Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre, aux hommes qui les comprennent sans les prendre, écrivait Marcel Prevost.
Outre cette discrétion quant à votre savoir, n’hésitez pas à tout faire pour protéger sa réputation auprès de son cercle amical : laissez son petit Hamster raconter ce qu’il veut sur votre relation, quelle qu’elle puisse être; de toute manière, même si vous visez l’une de ses copines par la suite, sachez que celle-ci, fondamentalement, sait que tout ce qui lui a été dit sur vous est un mensonge. Elle peut faire semblant de le croire pour maintenir une relation amicale de façade mais au fond elle n’en a cure et si elle a envie de vous, rien ou presque de ce qui lui a été dit ne la fera changer d’avis. Autant, donc, vous montrer gentleman, en opinant poliment à ce qui vous est raconté : à moins que vous n’envisagiez une relation longue, vous n’êtes pas là pour l’éduquer, ni pour la dissuader de quoi que ce soit.
Règle #5 : les épreuves sont permanentes

Dès lors qu’une relation, même temporaire, est installée, les Épreuves commencent. Votre compagne vous mettra à l’épreuve régulièrement, et ce afin de se convaincre qu’elle a fait le bon choix vous concernant.
C’est une manière de satisfaire son penchant naturel à l’hypergamie d’une part (en actualisant l’opinion qu’elle se fait de vous et en vérifiant, encore et encore, les qualités qu’elle vous attribue), et une manière de se protéger d’autre part (en lui permettant de trouver un prétexte pour mettre fin à la relation en toute bonne foi, et en se plaçant en position de victime déçue par votre incapacité) pour le cas où elle changerait d’opinion à votre sujet et déciderait qu’elle ne veut plus de vous.
Il vous faut en effet comprendre que, bien souvent, elle considérera comme impensable une attitude du genre : Je suis lasse de ce mec, je veux le quitter. Une telle pensée supposerait en effet qu’elle est, à quelque titre que ce soit, inconstante, ou qu’elle a pu se tromper quant à ses propres désirs.
Il lui faudra donc trouver un prétexte, qui lui permette de se placer dans une position moralement enviable, et de préférence celle de la victime abusée. Fondamentalement, soyez certain que vous êtes jugé en permanence et que toute interaction avec elle est une Épreuve.
Règle #6 : séduction, portes de sorties et options ouvertes
L’une des principales motivations poussant les hommes à la pratique de l’hypogamie (ce qui les amène à demeurer leur vie durant avec une harpie, ou encore à accepter d’amuser, de sortir, d’entretenir et d’avoir des relations sexuelles avec une femme qui ne mérite de toute évidence aucune de ces attentions) est la crainte de se retrouver seul. La solitude fait partie des grandes craintes qu’on inculque aux hommes, et cette crainte est un excellent moyen de les maintenir en laisse. Le meilleur moyen de vous prémunir contre votre hypogamie naturelle, qui pourrait risquer de vous faire perdre confiance en vous et accepter n’importe quelle relation est et reste le fait de vous convaincre que la solitude n’est pas à craindre. Pour cela, apprendre à vous connaître et à bien vous entendre avec vous-même est indispensable. Et c’est beaucoup moins facile qu’on ne le croit.
Le deuxième meilleur moyen consiste à toujours avoir quelques portes de sortie et options ouvertes. Cela ne veut pas forcément dire entretenir des relations parallèles (encore que si vous n’avez pas promis d’exclusivité, il n’y a aucun mal à cela) : un petit flirt sans suite ni conséquence avec la jolie stagiaire du bureau d’en face, des sourires échangés avec la mignonne voisine du troisième ou autres petites coquetteries sans conséquence peuvent bien souvent s’avérer suffisants pour vous faire réaliser qu’en cas de séparation, vous aurez toujours d’autres options.
En jouant sur le principe de préselection, vous augmenterez également sans effort votre VMS aux yeux de votre compagne. Pour que cela soit possible, il est bien entendu indispensable de parvenir à vous maintenir physiquement un minimum, et ne pas sombrer dans la déchéance physique qui accompagne bien trop souvent les hommes qui s’investissent dans un couple. Le fait de garder du temps pour vous et pour votre corps n’est d’ailleurs pas étranger à la Règle #1; de plus, cela entretiendra chez votre compagne une saine crainte de vous perdre, si elle constate que malgré votre relation, vous conservez un physique avantageux et toutes vos capacités de séduction.
Présélection aidant, le seul fait qu’elle sache que vous avez d’autres options risque de jouer en votre faveur…
NEO-MASCULIN
Règle #7 : si vous ne voulez pas être le bête béta cocu, faites en sorte de ne pas l’être
Cela peut sembler plus facile à dire qu’à faire. Mais en réalité il y a un certain nombre de signes auxquels vous pouvez être attentif, et un certain nombre de choses auxquelles vous pouvez prêter attention afin de ne pas vous mettre dans une situation alliant dépendance affective, exclusivité sexuelle non partagée et dépenses financières.
Par « bête béta cocu », il faut en effet comprendre : la situation dans laquelle se trouve un homme qui croit être le partenaire exclusif de sa compagne, alors qu’il n’est que son pourvoyeur de bienfaits matériels et financiers et que, dans le même temps, elle vit une sexualité libre et intense avec un ou plusieurs hommes qui, eux, ne la voient que comme une sex friend ou un coup d’un soir. Et cela arrive beaucoup plus souvent qu’on ne le croit. Quelques sains principes pour éviter cela :
- Ne partez jamais du principe qu’une femme avec qui vous avez une relation naissante est loyale : par défaut, considérez-la comme hypergame et fréquentant plusieurs autres partenaires. C’est à elle de vous prouver le contraire sur le long terme, non à vous de la supposer exclusive.
- Ne la laissez jamais supposer que votre propre loyauté et exclusivité lui est due : n’hésitez pas, surtout dans les premières phases, à laisser entendre que vous voyez d’autres personnes, même si ça n’est pas vrai. Le fait que vous ayez avec elle une relation exclusive doit être mérité et doit être considéré comme une faveur particulière.
- Question de Cadre : ne l’habituez pas à vous considérer comme un distributeur de billets. Jamais. Aucun apport financier de votre part si elle le demande. Les cadeaux que vous pouvez lui faire doivent arriver quand vous le décidez, et non quand elle prétend en avoir besoin. A aucun moment elle ne doit avoir l’impression que vous pourriez vous substituer à sa famille pour l’aider à quelque niveau que ce soit.
- Même au sein d’un couple stable, votre contribution financière à chacun doit faire l’objet d’un accord explicite. Ne la laissez jamais partir du principe qu’elle peut disposer librement de l’intégralité de ses revenus, plus de la majorité des vôtres. Les dépenses communes doivent bien entendu être pensées et prévues en commun. Mais rien d’autre. Un bon moyen d’éviter les débordements, si vous êtes installé sur le long terme et disposez d’un compte joint pour les dépenses du ménage (loyer, électricité, etc.), est de conserver chacun un compte séparé, de verser sur le compte joint les sommes décidées à l’avance, et de faire en commun, une fois par mois, la comptabilité dudit compte joint. Acceptez d’être responsable de vos dépenses propres sur ce compte-là, tout comme elle est responsable des siennes, mais refusez catégoriquement qu’elle mette le nez dans vos comptes personnels.
- Si vous êtes assez fou ou assez manipulé pour vous marier : le régime de la communauté universelle est une escroquerie pure et simple. Le mieux que vous puissiez faire, dans l’intérêt de chacun, est d’opter pour le régime de la séparation des biens. A défaut, la communauté réduite aux acquêts est un moindre mal.
- Restez toujours maître de votre semence : les arnaques à la paternité, ça existe. Les nanas qui récupèrent un préservatif dans la poubelle pour espérer tomber enceinte de vous, ça existe aussi. Les grossesses « accidentelles mais je vais garder parce que j’ai toujours voulu un enfant et toi tu seras père que tu le veuilles ou pas », c’est courant. Pour ne pas être pris dans de telles menées, il n’y a qu’une seule solution : vous assurer le contrôle de votre propre fertilité, et ne jamais vous contenter d’une promesse de votre compagne. Souvenez-vous que TOUT rapport non protégé équivaut, de votre part, à accepter l’idée que vous allez peut-être, pour les vingt années à venir au moins, unir votre destin à celui de cette femme. Tout préservatif usagé oublié près d’elle contient la possibilité d’associer votre lignée à la sienne, que vous le vouliez ou non et de vous faire payer pour cela des années durant. Fort heureusement, cela ne veut pas dire qu’elle le fera. Mais cela veut dire qu’elle peut le faire si le cœur lui en dit. Pourquoi laisser cette option ouverte ?
- Faites en sorte que votre compagne n’ait jamais une idée précise de l’état de vos finances propres : elle peut savoir si vous êtes dans une période faste ou non, si vous pouvez ou non vous permettre des dépenses importantes en ce moment, mais l’ampleur réelle de votre fortune ou de votre pauvreté doit rester relativement nébuleuse pour elle. En particulier, si vous disposez d’économies mises de côté, vous n’avez pas besoin de lui en parler tant que la chose n’est pas nécessaire.
- L’argent n’est pas son seul objectif : en fait, il est même très possible que ce soit ce à quoi elle pense consciemment le moins. Elle va, au long de la relation, tenter de s’approprier d’autres ressources, et en particulier votre attention et votre temps. Quand par exemple votre copine vous flique, ou encore qu’elle vous emmerde pour faire des activités ensemble en week-end, au lieu de vous laisser buller à la maison comme vous en aviez envie, ça n’est pas par méchanceté, ni même par bêtise : cela correspond, de sa part, à un réel besoin de sécuriser son investissement, en s’assurant que vous ne dispersez pas votre attention et vos ressources vers d’autres cibles potentielles. Il est inutile de lui en vouloir pour cette tentative de dévorer votre existence : elle ne fait que suivre un penchant naturel. En revanche, c’est à vous de faire en sorte qu’elle n’y parvienne pas, et ce à la fois dans votre intérêt et dans celui du couple. Car c’est à l’instant où elle aura obtenu tout de vous que le couple commencera à être en danger.
- Question de mentalité : la fameuse phrase Alpha fucks, beta bucks (l’Alpha baise, le Béta raque) n’est pas un simple slogan; elle est une réalité aussi tangible et aussi précise que peuvent l’être le cycle lunaire ou la loi de la gravitation. Dès l’instant où elle considère votre relation comme acquise, votre contribution à sa vie comme allant de soi et son statut au sein du couple comme définitif et ne demandant plus aucun effort de sa part, vous devenez le Béta. Pour être l’Alpha à ses yeux, il vous faut la convaincre en permanence que vous êtes supérieur à elle à bien des égards, et que c’est elle qui a de la chance de vous avoir, non l’inverse.
Ces principes essentiels sont destinés à tous les hommes entretenant des relations avec des femmes contemporaines et restent valables que vous souhaitiez mener une vie d’hédoniste polygame ou que vous vouliez fonder un foyer stable et une famille. Apprendre ces règles et parvenir à user du Jeu de la séduction sans en devenir l’esclave est en effet le meilleur moyen, pour un homme, de réaliser la nature de ses relations avec les femmes et de les exploiter à son avantage, que ce soit sur le plan professionnel, sentimental, sexuel ou familial. Car le Jeu de la séduction est partout. Il est omniprésent et permanent, que vous le vouliez ou non.
Ces principes essentiels sont destinés à tous les hommes entretenant des relations avec des femmes contemporaines et restent valables que vous souhaitiez mener une vie d’hédoniste polygame ou que vous vouliez fonder un foyer stable et une famille.
Apprendre ces règles et parvenir à user du Jeu de la séduction sans en devenir l’esclave est en effet le meilleur moyen, pour un homme, de réaliser la nature de ses relations avec les femmes et de les exploiter à son avantage, que ce soit sur le plan professionnel, sentimental, sexuel ou familial. Car le Jeu de la séduction est partout. Il est omniprésent et permanent, que vous le vouliez ou non.
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